
On le voit dans nos yeux éclaircis par la « pluie », essuyés par le vent. On l’entend dans nos chansons par les gares parisiennes. Il me reste pas de mot si non un espoir :….il y aura un jour, quelque part, encore une fois une place pour nous.
Mais les amis ça va, ça vient,
Alors partons vite brûler le jour et la nuit.